L’Organisation météorologique mondiale (OMM) a confirmé jeudi 20 janvier ses prévisions pessimistes annoncées en décembre à Cancun : 2010 a été l’année la plus chaude jamais enregistrée.
2010 a été l’année « la plus chaude jamais enregistrée », selon le dernier rapport de l’Organisation météorologique mondiale (OMM). La température moyenne de la planète a ainsi très légèrement dépassée celles de 2005 et de 1998. Les dernières données compilées par l’organisation, à partir d’informations de l’Office météorologique du Centre britannique Hadley, de la Nasa américaine ainsi que du Centre national de données climatiques américain, confirment ainsi un rapport préliminaire établi sur une période de dix mois publié début décembre lors de la conférence des Nations unies sur le réchauffement climatique à Cancun (Mexique). Elles confirment également « une tendance significative au réchauffement à long terme de la planète ». La dernière décennie devient ainsi la plus chaude enregistrée depuis l’existence de statistiques. En 2010, les températures ont été de 0,53 degré plus élevées que les moyennes enregistrées entre 1961 et 1990. Elles ont été très légèrement supérieures, de 0,01 degré, par rapport à 2005 et de 0,02 degré au-dessus de 1998. Conséquence : 2010 a également été marquée « par une poursuite de la fonte de la calotte glacière arctique ».
Philippe Martin
developpementdurablelejournal.com
2010 a été l’année « la plus chaude jamais enregistrée », selon le dernier rapport de l’Organisation météorologique mondiale (OMM). La température moyenne de la planète a ainsi très légèrement dépassée celles de 2005 et de 1998. Les dernières données compilées par l’organisation, à partir d’informations de l’Office météorologique du Centre britannique Hadley, de la Nasa américaine ainsi que du Centre national de données climatiques américain, confirment ainsi un rapport préliminaire établi sur une période de dix mois publié début décembre lors de la conférence des Nations unies sur le réchauffement climatique à Cancun (Mexique). Elles confirment également « une tendance significative au réchauffement à long terme de la planète ». La dernière décennie devient ainsi la plus chaude enregistrée depuis l’existence de statistiques. En 2010, les températures ont été de 0,53 degré plus élevées que les moyennes enregistrées entre 1961 et 1990. Elles ont été très légèrement supérieures, de 0,01 degré, par rapport à 2005 et de 0,02 degré au-dessus de 1998. Conséquence : 2010 a également été marquée « par une poursuite de la fonte de la calotte glacière arctique ».
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